Je banque, tu banques...
Parlons des banques. Je sais, c’est un sujet délicat, sensible, et qui ne provoque généralement pas l’enthousiasme des « journalistes » d’investigation, plus enclins à nous éclairer sur la dernière petite phrase des politiques à la mode.
Pour commencer, et afin de découvrir votre appétence pour le sujet, essayez de répondre à ces quelques questions.
Quel est le seul organisme au monde qui peut être autorisé, avec la bénédiction des utilisateurs, à faire payer un particulier pour lui donner le droit de dépenser l’argent qui lui appartient ?
Quel est la seule société commerciale au monde qui peut prélever de l’argent à n’importe qui, sans avertir au préalable le malheureux récipiendaire ?
Quelle est la seule organisation commerciale au monde qui peut consulter à n’importe quel moment, sans vous demander votre avis, la nature et le montant de vos dépenses et de vos gains ?
Quelle-est la société commerciale contre laquelle vous perdrez dans 90% des cas devant les tribunaux ?
Quelle sont les sociétés qui sont en permanence aidées par vos impôts, mais qui continuent de jongler avec vos deniers comme des acrobates de cirque ?
Si vous avez trouvé la réponse à ces questions, vous comprendrez qu’il est inutile que je développe une quelconque argumentation. La chose serait superflue et nuncupative.
Mais de défaite, à l’avance, point ne prévoyons ! Il se trouvera peut-être, un jour, un homme ou une femme politique, que sais-je, qui mettra au pas tous ces financial vulgar et travaillera enfin pour l’intérêt général…